Le psychologue clinicien psychothérapeute est un praticien de santé diplômé d’état. Il est le seul à être formé à la psychologie. Il peut vous recevoir en institution ou dans un lieu public, dans ce cas, cette prestation est prise en charge par la sécurité sociale. En libéral, les choses sont différentes, pour vous comme pour lui.
Le psychologue clinicien est inscrit à l’ARS (Agence Régionale de Santé) et est pourvu d’un numéro ADELI.
Le psychologue en libéral vous reçoit dans un lieu privé, discret, confidentiel et prend soin de ne pas croiser les patients. Il ne reçoit aucun autre patient que vous à l’heure de la séance. Il ne peut donc pas prévoir un autre rendez-vous d’une semaine sur l’autre. Le psychologue consacre plus de trente minutes à chaque patient, souvent prés d’une heure, surtout au début de la thérapie. Contrairement à d’autres praticien en libéral ou en institution, Il ne peut donc prendre plus de 7 ou 8 patients par jour au maximum.
Ainsi, en libéral, une séance chez le psychologue annulée à moins de 72 heures de sa tenue est due.
La raison est simple : le psychologue en libéral assume seul les frais de son installation, de sa pratique, sa gestion et de ses charges, de son administration et de son secrétariat.
Une thérapie a un coût, le psychologue en a conscience. Les tarifs sont donc étudiés au plus juste afin de fournir un travail et un accueil de qualité, comme toute thérapie.
La fréquence des séances fait partie intégrante de la thérapie. Il est parfois nécessaire d’instaurer 1 ou 2 séances par semaines durant un certain temps et la régularité est primordiale. Le non-respect de cette régularité ou l’annulation régulière de la séance peut rapidement conduire le psychologue à proposer de reporter l’entrée en thérapie. Le psychologue clinicien est formé au diagnostic et il peut faire appel à un confrère spécialiste en complément.
A l’issue et d’un commun accord, une proposition de sortie de thérapie peut être proposée au patient, temporairement ou définitivement, mais le psychologue demeure un interlocuteur disponible dans le suivit et il s’inscrit dans le parcours de santé.
Qu’appelle-t-on « l’orientation » du psy ?
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